Genevieve Authouart me fait part d' une vente d'une oeuvre de jeunesse de son mari Daniel Authouart, a la maison d' enchères "Ader " le 9-11-2018
« J’avais 30 ans lorsque j’ai peint ce tableau et je constate après des années, que les sujets qui mettent en scène l’automobile m’intéressent toujours autant aujourd’hui ! » Daniel Authouart
Aujourd'hui
Daniel devant une reproduction géante d'une de ses toiles sur le mur d un restaurant au Havre
En 1987 j avais travaillé avec lui, vous pourrez le voir sur :https://www.richardjeanjacques.com/search?q=Authouart
Sa biographie dit de lui sur le site : http://www.authouart.fr
Le travail de Daniel Authouart se situe dans la mouvance d'artistes qui, au détour des années 70, provoqués par la contemporanéité du travail des Pop-Artistes américains, éprouvèrent la nécessité de proposer une nouvelle forme de peinture narrative.
Comment un peintre, avec son crayon et son pinceau, pouvait-il offrir un témoignage original sur son temps alors que d'innombrables machines à images commençaient de submerger le monde ?
Pour répondre à cette question, les artistes essayèrent de présenter une lecture pertinente du monde qui les entourait. Les uns privilégiant une couleur (Monory, Velickovic), d'autres en isolant des signes de notre civilisation (Klasen, Raynaud), d'autres encore en utilisant la presse en abîme (Le Gac, Rancillac)...
Daniel Authouart, lui, a choisi de "peindre son temps comme on écrit un journal" :
les personnages, les décors et les objets sont notés (croqués) sur des carnets au jour le jour. On les retrouve, mis en scène, dans les tableaux pour devenir le sujet d'une réflexion, l'expression d'un fantasme individuel ou collectif, ou simple polaroïd d'une "chose vue". Les mots sont remplacés par des images ...
Comment un peintre, avec son crayon et son pinceau, pouvait-il offrir un témoignage original sur son temps alors que d'innombrables machines à images commençaient de submerger le monde ?
Pour répondre à cette question, les artistes essayèrent de présenter une lecture pertinente du monde qui les entourait. Les uns privilégiant une couleur (Monory, Velickovic), d'autres en isolant des signes de notre civilisation (Klasen, Raynaud), d'autres encore en utilisant la presse en abîme (Le Gac, Rancillac)...
Daniel Authouart, lui, a choisi de "peindre son temps comme on écrit un journal" :
les personnages, les décors et les objets sont notés (croqués) sur des carnets au jour le jour. On les retrouve, mis en scène, dans les tableaux pour devenir le sujet d'une réflexion, l'expression d'un fantasme individuel ou collectif, ou simple polaroïd d'une "chose vue". Les mots sont remplacés par des images ...
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