mercredi 5 septembre 2018

François Arpels, je ne sais pas tout



Bonjour 
En regardant internet je viens découvrir que François Arpels travaillait toujours  pour le groupe Richemont et faisait en Inde  des conférences sur l’histoire de Van Cleef et Arpels .
Je me souvenait de ce François Arpels qui avait créé une compagnie d’aviation Fairlines qui vécu le temps d’une saison  , et déposa le bilan très rapidement en 1998 . En regardant internet je viens de découvrir qu’il est membre du board , depuis 2013, de la Joaillerie indienne  Tara Jewels dont  le siège est à Bombay . 
Dans l’invitation que je vous ai fait parvenir vous pouvez voir qu’il a fait deux conférences le 31 Août , sur l’histoire de Van Cleef et Arpels , dans la  succursale Tara Jewels de Madras , avant de présenter la nouvelle collection de Tara.

Est ce que par hasard , Van Cleef Arpels s’installerait sur le marché indien , en ayant fait l’acquisition de cette chaîne de magasin . Pouvez vous nous en dire plus ?





Bonjour

Je n'ai jamais eu de contact avec la famille Arpels,à l exception du  le fils de Claude Arpels et Suzette sa première femme, John Arpels qui est médecin aux États unis, nous avons conversé longuement à l époque ou j écrivais 2 livres sur les Van Cleef et les Arpels.
Pour François  je sais juste comme tout le monde  ce qu il dit de lui en bien, évidemment vous avez raison pour Fairlines, mais il n'en parle pas, il écrit partout



• Avoir acquis une connaissance approfondie de l'industrie du style de vie et du luxe grâce à plus de 25 ans d'expérience dans la création de valeur pour les marques, en les conseillant dans la définition et la mise en œuvre de leur stratégie.

• Fondateur et associé directeur de «Brands & Beyond», un fonds de capital-investissement axé sur les investissements, la croissance locale et le développement international, les marques de luxe et de mode contemporaines et non ethniques et les modèles numériques innovants; ont été étroitement impliqués avec l'Inde depuis plus de 15 ans.
• Auparavant, il a co-fondé une boutique de conseil stratégique avant de rejoindre «Bryan Garnier & Co» en tant que directeur général de la franchise Retail / Fashion / Luxury, ainsi que directeur de «Bryan Garnier India».
• Ancien actionnaire, membre du conseil d'administration et du comité exécutif de «Van Cleef & Arpels», la maison de joaillerie fondée par la famille Arpels en 1906.

Je ne suis pas en accord avec lui sur ce qu' il dit de la famille Arpels qui aurait fondé la maison en 1906, car  il oublie que c'est Alfred Van Cleef et  Salomon Arpels qui ont créé la première société en  1896  mais Salomon Arpels meurt en 1903 et ce sont ses fils qui rentrent dans la société a sa place. Mais le "patron", c'était Alfred Van Cleef.
Je vous rappelle que le groupe Richemont a racheté la société Van Cleef & Arpels en 1999!!



François Arpels


En 2007 le"point" s'était intéressé a lui





L'échec de FairlinesPublié le 23/01/2007 à 18:01 | Modifié le 23/01/2007 à 18:01 Le Point
Dès leur arrivée à Roissy 1, les passagers de Fairlines avaient droit au tapis rouge. Des grooms portaient leurs bagages jusqu'au comptoir d'enregistrement, où de jolies hôtesses prenaient ensuite le relais. Une fois à bord des avions, des McDonnell-Douglas, aménagés en 72 places, tout n'était que luxe, calme et raffinement. Chaque client avait droit à un superbe fauteuil en cuir, équipé d'un ordinateur portable, et pouvait profiter aussi d'un salon de repos pour passer un coup de fil. Fairlines, la petite compagnie créée en 1998 par François Arpels, descendant de la célèbre lignée de la place Vendôme, avait fière allure. Elle démarrait avec seulement deux destinations : Paris-Nice et Paris-Milan, à raison de deux à quatre fréquences par jour. Mais elle espérait desservir très vite d'autres grandes capitales européennes. Le jeune patron de Fairlines (31 ans à l'époque), fou d'aviation, rêvait de faire de Fairlines « le joyau des compagnies françaises ». Sa société fut à peine... une étoile filante. Après moins d'un an d'existence, Fairlines mit la clé sous la porte en décembre 1998. La compagnie réalisait à peine un tiers de son chiffre d'affaires prévisionnel. François Arpels perdit dans l'aventure plusieurs dizaines de millions de francs. « Fairlines a cru que l'épaisseur de la moquette de l'avion suffisait à séduire la clientèle haut de gamme, constate un concurrent. Le vrai luxe, pour un homme d'affaires, c'est l'assurance de pouvoir repartir d'où il vient dans l'heure. » Sur ce point, Fairlines ne pouvait pas lutter : à Nice, la petite compagnie proposait quatre fréquences par jour contre quarante-six pour la concurrence (Air France, Air Liberté et AOM). De plus, au départ de Roissy, Fairlines ne disposait pas d'un accès direct au terminal. Ses passagers devaient prendre le bus pour embarquer. C'en était trop pour la jet-set pressée. Béatrice Peyrani

Je me demande ce qu'il peut dire en conférence sur l histoire de la Maison, mais je vais me rapprocher de certains amis pour peut être, vous apporter des précisions, car  je crois que Mr François Arpels n'a rien a voir avec le groupe Richemont ou la société VCA .

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