vendredi 25 octobre 2019

Avis de recherche pour un poinçon RC o






Bonjour Jean Jacques,
Comment allez-vous ?

Pourriez vous m'en dire davantage sur ma petite boîte en argent, vermeillée à l'intérieur. 
Email polychrome, sertie d'émeraudes et de petites perles blanches (légèrement baroques).
Poinçon sous la boîte : 1 rectangle, inscription RC + petit o avec un trait dessous (RCompagnie ??).
2 poinçons sur le côté vermeillé (2 rectangles fins avec dessins dedans mais c'est illisible pour moi)))
Dimensions : 43 X 32 X 17
Poids :  45,81 grammes

C'est une question de Beatrice d'Aix


J ai essaye de tirer parti des poinçons rectangle sur le coté de la boite et lui ai répondu par mail



La photo des poinçons  rectangle me permet de dire que c'est le poinçon Charançon avec une date précise  a partir de   1893
Décret du 29-06-1893 en usage au 1 er juillet 1893 pour les ouvrages au titre minimum de 800/1000° en provenance des pays contractants donc votre boite provient de l étranger mais ayant respecté les règles d'importation
je vais essayer de trouver le dernier poinçon



Or je ne trouve pas le dernier poinçon, qui doit être depuis l'origine sur la boite  RC o et un trait sous le O  d'où mon appel aux lecteurs

Mon mail : richard.jeanjacques@gmail.com

mercredi 16 octobre 2019

Un miroir de André AUCOC , des questions



J ai reçu ce message ci-dessous en trois langues, belle attention a mon intention car le Néerlandais est pour moi synonyme de mystère.

Cher Monsieur,
J'ai lu attentivement votre publication sur la famille Aucoc.
Je possède moi-même un miroir argenté de A.Aucoc. Cet héritage de famille m'a beaucoup impressionné depuis mon enfance. Maintenant que j'ai étudié davantage votre publication, ce miroir a pris encore plus de valeur pour moi.
Cependant, je n'ai nulle part où trouver des informations sur ce miroir sur Internet. Donc, je ne connais pas une idée de valeur pour une police d’assurance, je voudrais aussi connaître la date de production.
Pourriez-vous éventuellement me dire où je peux obtenir plus d'informations sur cette belle pièce de famille?
Merci beaucoup,
Cordialement,

Rob van Amelsfoort

J avais traité les "Aucoc" il y a peu: sur mon courrier des lecteurs:

Un mail a ne pas prendre à la légère car Rob van Amelsfoort est un Évaluateur Diamond grader - expert en montres anciennes  etc , ma réponse...





richard jean-jacques richard.jeanjacques@gmail.com

15 oct. 2019 10:43 (il y a 1 jour)
À Rob
Cher Monsieur
Difficile question
Y a t il un poinçon sur le métal et lequel
Pourriez vous me le photographier  avec votre téléphone portable d assez près pour que je puisse agrandir
La date je pense 1880-1900  3000 à 4000€ me parait possible comme valeur, mais il me faut le poinçon!!!
A bientôt Jean Jacques Richard

Merci beaucoup pour votre réponse rapide.
Je pense que c’est bronze argenté, parce q’il n'y a pas une poinçon, bien la photo au dos. I y a une petite plaquette.
La hauteur est 65 cm., et est tres lourd, plus de 5 kilo. La miroir eux memes est facettee.
J’ai ajoute des photos supplémentaires pour plus de details.
Merci d’avance pour votre réponse!



Bonjour

J ai bien regardé vos photos et la petite plaque gravée derrière  le miroir est notée A.Aucoc .
or André Aucoc a exercé sous son nom de 1887 à 1911 et se trouvait 6 rue de la Paix.
Donc 1900 me parait être une bonne date, de plus le style un peu "Rococo".  Ensuite ce fut sa veuve qui reprit l affaire et les objets étaient poinçonnées  "Vve Aucoc" et avant André, c'était louis.
Bronze ou cuivre argenté, il devrait y avoir un poinçon de forme carré, avez vous regardé a l' intérieur ?
A intérieur vous pourriez peut être faire une petite encoche avec un objet aiguisé pour voir si la couleur du métal est dans la masse ou simplement en surface?
Y a t il par endroits de frottements une trace jaune qui pourrait être du bronze qui apparaît sous l argenture?
Si c'est du métal argenté vous devriez adresser les photos à Christie's  ou autre pour avoir une valeur! car je n'ai pas de connaissances sur le marché du métal argenté...





Je ne suis pas très "calé" en matière d argenterie  mais difficile d 'apprécier la valeur de ce miroir.  du bronze argenté pourrait valoir 5 a 600€ mais....mais c'est de André Aucoc !, c'est un bel objet de très bonne façon alors je publie ses courriers en espérant voir un de mes lecteurs apporter un complément à ma réponse

richard.jeanjacques@gmail.com

vendredi 11 octobre 2019



Monsieur,
Je me permet de vous contacter suite à la lecture de votre blog et de votre article d'intérêt sur le joaillier Dusausoy.
Je viens de faire l'acquisition d'une bague qui présente un poinçon losangique comprenant les initiales P D avec au centre un motif carré tel un dé. Je me demandais si cette bague pouvait être attribuée à cette maison ou si vous aviez connaissance de ce poinçon que je ne retrouve pas dans nos archives.
Votre aide me serait utile si vous en avez le temps bien sûr...
Je vous joins photos et un dessin du poinçon.
Bien cordialement,
Emilie B......


Bonjour Emilie
Pas facile votre question...
Ce n est pas le poinçon de Dusausoy  bien que la génération d avant avait les initiales PD (paul dusausoy, mais a cessé en 1906) mais ce n est pas un dé a jouer et pas le style 40/50 de la bague.
Neanmoins j ai cherché, je n avais pas le dessin jusqu' ici, mais c'est sans nul doute le poinçon de Daudé Pierre  joaillier fabricant a Paris,  un dé a jouer avec quatre points.
Je crois qu il exerçait encore dans les années 85-90
J ai essayé de vous téléphoner, mais vous n'étiez pas là
Je vous souhaite une agréable fin de journée

Jean jacques Richard

mardi 1 octobre 2019

Lacloche, un Livre et une exposition du 23/10 au 20-12-2019



Le livre sur Lacloche est l'un des livres que j'aurais aimé écrire, mais les éditeurs veulent que celui qui écrit, soit "sponsorisé"...
Il n'empêche j'ai enfin ce livre dans les mains et c'est un bon et beau livre et je dis rarement cela au sujet des livres de joaillerie. La plupart ne sont des livres d'images qui ne nous apprennent rien de l Histoire



Laurence Journaliste, spécialiste des antiquités et du marché de l'art,  anime la rubrique consacrée aux collectionneurs dans Madame Figaro et collabore régulièrement à la revue Architectural Digest. Elle est également l’auteur de plusieurs ouvrages sur les collections et l’art de collectionner.
Elle a écrit ce livre à quatre mains, avec Véronique Ristelhueber avec laquelle , Laurence avait déjà  écrit " Raymond Templier, le bijou moderne"première monographie consacrée au Joaillier et bien d'autres ouvrages. Ce livre ainsi que le "Lacloche" ont été publiés aux éditions Norma.




"Lacloche" c'est un ouvrage de 336 pages avec près de 500 illustrations, au format de 246X305 m/m .Il est en français et en Anglais pour le travail que cela représente , le prix de 60 € est plus que raisonnable. 
Publié aux éditions Norma avec le soutien de l'école des Arts Joailliers de Van Cleef.



Ce livre est le premier à retracer l ascension fulgurante de la famille Lacloche, car c'est en 1892 que  Léopold et Jules Henri, tous deux bijoutiers vont   le 15 novembre 1892, déposer et créer la Société en nom collectif "Lacloche Frères",  rue de Chateaudun Paris.
J' avais il y a quelques temps, en 2016, travaillé sur le sujet Lacloche.

Travail difficile, famille complexe, documentation très rare. L internet permet de toucher un grand nombre de gens, des amateurs de bijoux aux marchands, des commissaires priseurs aux conservateurs de Musée. 

Mais un site internet ne permet pas de garder sous la main la lecture d' un  article. Un bon livre donne envie de le relire encore et encore, il est disponible de suite, on le possède, on l aime et on le feuillette.
le livre sur un joaillier est une oeuvre d’art au même titre que l’estampe, c’est une pièce de collection.





Francis Lacloche lors de ma rencontre avec lui à Paris

Françis Lacloche est le fils de Jacques Lacloche, le dernier des Lacloche Joailliers qui cessera d exercer  en 1967, c'est une chance de pouvoir échanger avec lui , ce que Laurence n'a pas manqué de faire.

Je me souviens de ce que m avait écrit Francis il y a 3 ans:
J’ai commencé à compléter les archives que je possédais, loin de ressembler à celles des grandes maisons encore en activité comme VCA ou Cartier. Entre les documents que je possédais (inventaire, dessins) et les catalogues de ventes, l’entreprise était ambitieuse mais possible sinon facile.
Ensuite, je me suis focalisé sur la vie même de mes grands-parents et parents, par intérêt pour le siècle qu’ils avaient traversé, ses drames, ses génies et ses à-côtés culturels, mondains et balnéaires, enfin sa modernité galopante ; un galop qui fini en catastrophe en 1940.
Revenu du pire, reparti dans le tourbillon excitant de la Libération et de ses BOF, mon père a fini par s’en lasser et créé une galerie d’art en 1960, ouvrant un nouveau chapitre de sa vie à laquelle je fus étroitement mêlé...........................

En 1944, mon père est passé de très peu à coté d’un séjour rapide à Drancy et d’un convoi pour les camps ; 
Certains membres de la famille tentèrent de se trouver une autre lignée que ce bon Lebe Elias et tous les Levy, Cohen et autres Walewyk qui peuplent la famille, .........
Chemin faisant, d’autres épisodes méritaient d’être racontés :
- La vie d’une famille de joailliers s’émancipant de la situation de petits commerçants hollandais puis belges en draps et trousseaux, pour entrer peu à peu dans l’univers de la bijouterie puis de la haute joaillerie française, rejoignant les grands noms de la place de Paris.
- La vie d’un joailler parisien entre Paris, Londres, Deauville et Cannes entre 1920 et 1940,
- La période de la guerre, à Cannes principalement dans une sorte d’annexe de Paris culturel, mondain, juifs (Cannes devenant Khan selon le bon mot de Tristan Bernard ou d’un autre), puis devenu le théâtre du pire en 1943 et 1944. A ce sujet j’ai lu le paratexte de votre livre sur les Van Cleef que je souhaite acquérir : je ne vais pas me lancer dans une sombre histoire dont je n’ai pas les éléments précis mais les relations entre les Arpels et mon père ne furent peut être pas simples. En 1944, c’est en cherchant Jacques Arpels que la Gestapo met la main sur Jacques Lacloche, le soupçonnant d’être juif et surtout intéressant à piller (ce qu’ils ne manqueront pas de faire, le « ils » ne désignant probablement pas des Allemands mais de braves gestapistes locaux dont l’épuration ou le retournement de veste décidera du sort en 1945).



Mais pour la sortie de ce livre, il est organisé une superbe exposition par l'École des Arts Joailliers avec le soutien de Van Cleef & Arpels.
Le commissariat scientifique est dû à Laurence Mouillefarine.
L exposition a lieu du 23 octobre au 20 décembre 2019, l entrée est libre du lundi au samedi de 12 heures à 19 heures et c'est au 31 rue Danièle Casanova à Paris dans le 1 er arrondissement



Je ne voudrais pas vous enlever la fraîcheur et l originalité de ce livre que les amoureux de la grande Joaillerie Française se doivent d' avoir dans leur bibliothèque, juste vous dire que vous retrouverez les modèles des Lacloche mais aussi leurs fabricants:




Derrière toutes ces belles devantures il y a surtout d’habiles et talentueux fabricants qui dessinent et réalisent pour les grandes maisons. Certains – Verger, Janesich – ont aussi pignon sur rue. Verger par exemple disposera d’un stand à l’exposition de 1925 aux côtés des Boucheron, Van Cleef, Linzeler, Cartier, Lacloche.
Les fabricants de Lacloche Frères sont Girard, Halluin & Metlinger (de merveilleux étuis à cigarettes), Georges Meyer, Louis Pery et ses fils, G Lenfant, les frères Rubel, Wakefield, Leblanc.. Qui dessine ? Jeanne Toussaint, René Révillon, Suzanne Jacqueau…
Les boites et les vanity sont réalisés dans les ateliers de Strauss, Allard & Meyer (qui travaillent aussi pour Cartier) installés place des Vosges. Louis Kuppenheim, Lavabre, Chaillouc, Bock, Yahr & Ouchinnikov, Renaud travaillent surtout pour Cartier comme Bachaumont qui sera intégré dans l’atelier maison.




Les pendules sortent des ateliers de Bredillard, de Dagoneau, de Prevost pour les mouvements, de Dubret pour les boîtiers en émail, de Bako pour les boîtiers en cristal, de Haas & Neveux pour les ornementations des cadrans,  de Maurice Couët qui est horloger ; ils sont installés rue des Petits-Champs, rue d’Hauteville, boulevard de Sébastopol, rue Saint Martin.
Verger réalise des pendules mystérieuses dont Georges Rémy ou Fourrier conçoit les boîtiers. Verger travaille d’ailleurs pour toute la place : Cartier, Lacloche, Chaument, Van Cleef, Boucheron, Janesich, Gubelin et Ostertag




Parmi ces artisans de grands talents on trouve des arméniens – Mezbourian, Esmerian, Sirakian, Kelekian (ce dernier installé au 12, rue de la Paix, vend des objets égyptiens), Kalebdjian (2, place Vendôme), des Juifs, des Vietnamiens comme Phung Dinh Van spécialiste des laques.


Mes articles sur Lacloche en 2016
https://www.richardjeanjacques.com/2016/03/lacloche-de-l-histoire-et-de-la-famille.html

https://www.richardjeanjacques.com/2016/03/lacloche-grand-joaillier-francais-suite.html



Questions et commentaires : richard.jeanjacques@gmail.com


vendredi 20 septembre 2019

Poinçons polonais sur bracelet

Bonjour Jean-Jacques,
Comment ça va dans le sud? J’espère que tout va bien après l’été! 
Alors j’ai un bracelet à demander ton avis? 
Les poinçons j’ai du mal à identifier c’est de quel région et Epoque. Même s’il y en a plusieurs sur cette pièce ?
A ton avis?  J’ai testé c’est du 14k. Merci beaucoup d’avance de ton aide
Alex

Courrier reçu de  la part d'un ami Chinois, j aimerais bien écrire en Chinois comme lui en Français. Par discrétion demandée, je ne puis vous montrer le bracelet sur lequel sont ces poinçons, mais....




J ai une idée au vu de ces poinçons, car peu de pays  utilisent cette forme pentaèdrique, mais je redemande une autre photo plus nette. je réécris à Alex

Ce n est pas français

ne serait ce pas sur le poinçon pentagonal (5 cotés) une tète de chevalier avec un N° photo pas nette!!!!




Là cela sent le polonais, mais encore faut-il le  prouver et comme la Pologne marquait et marque au poids , vérifier mon raisonnement!

Sur le fermoir il y a un poinçon pentagonal  
je pense à la Pologne et le bracelet devrait peser aux alentours de 30 grammes  et serait du 583/1000°
Peux tu me dire le poids?

Réponse d'Alex

oui tout à fait 
le poids brut est à 32g avec longueur 18.5cm
je viens d'envoyer un deuxième email avec les photos de poinçons sur le fermoir .Et sur le tige de fermoir , tu as tout à fait raison, c’est un pentagonal avec un numéro 30 à côté de la tête de chevalier 

richard.jeanjacques@gmail.com
à Alex.
Donc c'est un bracelet fabriqué après le 5 12-1931 la loi a été modifiée le 5 dec 1950 et le 29-12-1955


J' adresse à Alex une page sur les poinçons polonais d'après 1920, 



Alex à moi
Les trois dernières photos sont des poinçons sur les maillons. 



Ce sont des poinçons de forme hexaèdriques de remarques appliqués sur chaque maille indépendante, c'est de l'or à 583/1000° ce bracelet est donc un travail polonais postérieur à 1931. Je penses qu' il est plutôt des années 1950.

jeudi 29 août 2019

Jacques Arpels , le seigneur des Clayes



à:Richard jean-jacques <richardjeanjacques@gmail.com>

Bonjour
Dans votre article sur edouard Vuillard et la femme de Jacques Arpels, vous parlez de leur chateau
Le mot Clayes a t il un sens, est ce  Jacques Arpels qui l a appelé ainsi
J aimme bien vos blogs, l histoire se lit facilement avec vous
Sinceres salutations
Arthur Meyer


Vous avez lu cela dans mon article: 


Bonjour Cher lecteur
C'est amusant votre question, car Jacques Arpels aurait pu le rebaptiser ainsi son Chateau!
Car  ce château se trouve a Clayes sous bois mais la commune a ajouté le déterminant complémentaire -sous-Bois à son nom le 27 juillet 1931.
Clayes viendrait d'un nom d'origine normande ou celte, cloi (clôture ou claie). Il s’agit apparemment d’une formation médiévale basée sur l'ancien français esclayer, dérivé du substantif verbal Claie (anciennement claye) ayant divers sens : « grosse échelle de charpente », « treillis servant à divers usages », « ouvrage utilisé pour servir de barrage, écrille », « treillage qui ferme un champ, un pâturage », « instrument de supplice sur lequel on attachait le corps d'un condamné et qu'on faisait traîner », « treillage de bois sur lequel on déposait le cadavre d'un supplicié ou de la victime d'un meurtre ».
Ce nom de Claie nous rappelle que les ouvriers joailliers marchent dans leurs ateliers sur des "claies""  (treillis a divers usages)


Cette photo a 58 ans c'est l atelier de la maison "Candas" ou je suis entré après l'école de la rue du Louvre.  Regardez au sol, ces petits carrés, ce treillis....
On en fait encore, mais en plastique. 




"On dit cependant que le plancher est couvert par des claies dans lesquelles tombent les poussières et les parcelles détachées par la lime ou la brosse : ces poussières recueillies avec grand soin sont lavées dans des filtres en feutre et rendent une quantité d'or montant à un chiffre élevé."Texte sur l'usine Rouvenat

Donc un rapport avec la joaillerie, mais je ne pense pas que Jacques Arpels ait fait le rapprochement et le Château a mal fini.

Avant la guerre Lucie qui habitait avec Jacques Arpels à Neuilly  hérita du château que son père(Jos Hessel) avait acquis en 1925 en région parisienne et Jacques devint châtelain, il parait que  les gens du patelin l’appelaient "le Seigneur des Clayes".


Château acheté Par Jos Hessel en 1925 près de Paris


Vuillard avait peint de nombreux tableaux dans ce château.

Malheureusement  Lucie et Jacques étaient partis à Cannes dans la maison du père de Lucy pour fuir les nazis qui transformèrent le château en Kommandantur, le Château fut incendié, il ne reste que deux tours, et les communs qui sont devenus la bibliothèque de la ville.



Lucie Arpels aura deux enfants, Philippe, Dominique , elle divorcera d'avec Jacques Arpels et l héritage sera douloureux après la mort de Lucie.





dimanche 18 août 2019

Fermoir de sac art nouveau! Je cale.


Je suis une amie de Frank Stefan Stern et c'est lui qui m'a parlé de vous. Je collectionne la mode féminine depuis plus de 30 ans, surtout les sacs. J'ai trouvé deux fermeture de sacs en métal doré et plique un jour, en me comparant avec autres collectionneurs et amis que je ne pouvais plus apprendre, les deux fermetures n'ont pas de marques, pouvez-vous m'aider au cas où elles vous rappelleraient quelque chose et dirigeraient mes recherches? Je joins les photos, merci . Pardon pour mon francais



Cette charmante italienne m' a posé une colle,car si de nombreux joailliers français ont  vendu des sacs en or, avec garnitures de tissus, de perles, personne n'a indiqué qui faisait  leurs fermoirs.


J ai cherché et n'ai pas trouvé, J ai attendu la réponse d une amie Anna Tabakhova, qui a écrit un livre sur les fermoirs, mais elle n'a pas traité ce sujet
J ai repris une page du Didot Bottin de l'époque , il y a tous ceux qui fabriquent des fermoirs pour sacs a mains, mais!!!!!!rien qui puisse m aiguiller
Évidemment j ai consulté Henri Vever , la BNF, les catalogues comme Lefebvre qui fabriquait de tout.......
Une maison Allemande, faisait ce genre de travail  ils se nommait Offenbach, mais je ne connais pas la langue allemande pour chercher.



Alors en désespoir de cause, quelqu'un connaît il ce travail c'est du bronze doré et de l'émail.?

richard.jeanjacques@gmail.com

1960-61 L' orchestre YéYé de l'ecole de joaillerie de la rue du Louvre à Paris:

  Cliquez sur les photos pour les agrandir  Michel BALDOCCHI Bonjour Monsieur Richard. Nous avons déjà eu l’occasion d’échanger quelques foi...