Une de mes lectrices vient de Publier un nouveau livre sur Vever: dans son mail elle m'écrit
Puisque votre blog est lu avec intérêt par de nombreuses personnes s'intéressant à l'histoire de la bijouterie (y compris moi!), auriez-vous l'amabilité d'y annoncer la parution, chez Armand Colin de mon ouvrage sur Henri Vever? Comme vous le savez je crois, il s'agit des cahiers privés que Vever a rédigés en 1898, avec ma préface, les notes etc. Je serais, par ailleurs, heureuse d'avoir votre avis là-dessus. Vous trouverez une description de mon ouvrage ci-dessous,que vous pouvez transmettre à vos lecteurs:
Le livre est en vente par Amazon.fr (même en version Kindle), par fnac.com, et directement de l'éditeur (srousseau@dunod.com). Je suis en ce moment chez moi aux Etats-Unis, mais j'imagine que le livre se vend en librairie également (mais je ne sais exactement où...)............Tout est dit!!
C'est avec plaisir que je signale son livre, c'est si dur d' éditer, donc ce livre en voici une présentation
Henri et Jeanne Vevver
En 1898, le célèbre bijoutier-joaillier de la rue de la Paix, Henri Vever tient un journal. Promoteur de l’Art nouveau, il partage la ferveur pour ce « modern'style » de son contemporain René Lalique. Amateur d’art de renom, il fréquente les marchands et les collectionneurs les plus en vue. Vever est surtout un japonisant passionné.
1898 marque aussi un tournant politique. Vever suit de près l’affaire Dreyfus et se montre résolument anglophobe et américanophobe quand éclatent la crise de Fachoda et la guerre hispano-américaine. Friand des nouvelles « merveilles » techniques de son temps, il apprécie les photographies en couleurs des frères Lumière et le phonographe. Ce bourgeois parisien aisé assiste à une répétition de Cyrano de Bergerac, déguste des glaces au Café Napolitain, monte à bicyclette au bois de Boulogne, consulte des voyantes…
Cette chronique fascinante de la vie parisienne au seuil du XXe siècle constitue un témoignage précieux sur un moment charnière, pleinement vécu comme tel par un homme dynamique introduit dans les milieux parisiens les plus variés.
1898 marque aussi un tournant politique. Vever suit de près l’affaire Dreyfus et se montre résolument anglophobe et américanophobe quand éclatent la crise de Fachoda et la guerre hispano-américaine. Friand des nouvelles « merveilles » techniques de son temps, il apprécie les photographies en couleurs des frères Lumière et le phonographe. Ce bourgeois parisien aisé assiste à une répétition de Cyrano de Bergerac, déguste des glaces au Café Napolitain, monte à bicyclette au bois de Boulogne, consulte des voyantes…
Cette chronique fascinante de la vie parisienne au seuil du XXe siècle constitue un témoignage précieux sur un moment charnière, pleinement vécu comme tel par un homme dynamique introduit dans les milieux parisiens les plus variés.
Qui est Willa??
Willa Zahava Silverman (1959) est un écrivain américain.
Après des études de premier cycle à Harvard , Silverman a reçu son doctorat en études françaises à l'Université de New York . Elle a publié des travaux comme la vie notoire de Gyp: Anarchiste de droite dans Fin-de-Siècle France (1995), une biographie de Sibylle Riqueti de Mirabeau -translated en français comme Gyp, la dernière des Mirabeau , avec une préface de Michel Winock -] et The New Bibliopolis: Les collectionneurs de livres français et la culture de l'imprimerie 880-1914 (2008).
Son site : http://www.willazsilverman.com/
L'auteur/l'éditrice reste à la disposition de tous ceux/celles qui souhaiteraient avoir des compléments d'information au sujet de son livre.
RépondreSupprimerBien à vous,
Willa Z. Silverman/Penn State University (wzs1@psu.edu OU willazahava1@gmail.com)