Bonjour
Je souhaiterais avoir des renseignements sur cet objet ,il semble être en argent massif et cristal.Il y a de nombreux poinçons , et il est signé tixier deschamps Le bouchon n'est pas d'origine Hauteur 17,5 cm Ci joint quelques photos Cdl Mr pessin franck
Bonjour .
En effet vous avez un poinçon sur votre deuxieme photo qui est celui de l' argent 1 er titre.
Tixier deschamps me semble t il n'était que revendeur et a gravé son nom sur l objet. .En 1844, Frédéric Boucheron rentre en apprentissage chez l’un des meilleurs fabricants parisiens, Jules Chaise, et en 1853 il devient commis vendeur chez Tixier-Deschamps, au Palais-Royal, avez vous un poinçon de maitre sur l objet , un poinçon dans une losange, si pour pouviez le lire et me l'adresser.
Je pourrais si vous avez besoin vous adresser des extraits de doc sur Tixier qui etait une maison tres connue.
Cordialement
Jean Jacques Richard
Poinçon argent
Gravure Tixier Deschamps Paris
richard jean-jacques <richard.jeanjacques@gmail.com>
15:44 À franck.
Je pense que c'est ARPIN, Ferdinand petite orfèvrerie 42 rue de montmorency, puis 119 rue du temple et enfin 77 rue de la verrerie Poinçon un pin et les initiales A.P. Il a executé des montures en argent moulé pour DAUM a arrêté d' exercer en 1916 pour cause de décès.
Bonne soirée
Jean Jacques
Une anecdote de Vever a propos de Tixier Deschamps ou le grand Vever cite aussi Boucheron
Deschamps donna beaucoup d’extension à sa maison, toujours connue sous le nom de Tixier- Deschamps, et qui devint la plus importante du Palais- Royal. Sa vogue fut très grande, surtout entre 185o et 1868. On y trouvait des bijoux soignés et de bon goût et des pierres d'une qualité peu commune. Les camées avec tête de négresse, incrustés de petites roses, qu'exécutait Petitot, lurent une des spécialités à succès de la maison. En 1858. Deschamps céda sa maison à André ; a ce moment
Boucheron, dont la nature ardente et active s’était beaucoup dépensée dans cette maison depuis cinq ans, déçu peut-être dans le secret espoir qu’il avait nourri de voir son patron la lui céder, résolut de s’établir. Mais il lui manquait pour cela une chose essentielle : l’argent. S’en étant ouvert à sa famille et a quelques amis, il plaida si éloquemment sa cause, qu’il parvint à réunir la somme de cent mille francs. C'était peu ; néanmoins, c’est avec ce capital relativement restreint, qu’en 1858 il fonda, galerie de Valois, la maison qu'il devait illustrer plus tard, réfutant par ses actes le pronostic pessimiste de M. Deschamps son patron, qui avait dit : «
M. Frédéric est un excellent commis, mais il n'a pas l’étoffe nécessaire pour faire un patron. »
Boucheron commença modestement et ne prit d’abord qu'une petite boutique d'une seule arcade. Il s’était rendu compte qu'avec les fonds prêtés par sa famille, il ne pouvait songer à avoir un assortiment de pierres de grande valeur, qui absorberait immédiatement ses ressources avec peu de pièces; il se limita, au contraire, dans un assortiment judicieux d'objets de haute fantaisie, puis, comme il était plein de confiance dans l'avenir, il se mit courageusement à l’œuvre et se lança, tête baissée, dans la lutte pour la vie. Son intelligence et son activité amenèrent le succès qui s’affirma, ainsi que nous l'avons vu, dès l’Exposition de 1867, où il obtint une médaille d’or.
Poinçon sur la pièce de Mr Pessin
Poinçon de Ferdinand Arpin au ministere de la culture
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